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Les Jeux De Papa

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  • : Carnet de route d'un papa qui trouve quand même le temps de jouer aux jeux vidéos...
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31 mars 2009 2 31 /03 /mars /2009 09:57
Oui ! Je me sens particulièrement chanceux !
Pourquoi un tel élan de bonheur ?
Et bien voilà, récement, je regardais un reportage sur l'histoire du jeu vidéo (enregistré sur GameOne, oui, des fois il y a des trucs bien sur cette chaine), et j'ai enchainé avec un reportage sur l'historique de Street Fighter sur NoLife (très bonne chaine, mais un peu trop de rock japonnais).
Et là j'ai pris conscience d'une chose ... Je suis chanceux, et tous ceux de ma génération aussi (ceux qui ont au moins une trentaine d'années).

Installez vous que je vous explique ...

Aujourd'hui, notre passion a bien évoluée :
Entre les consoles nouvelles générations avec leur HD qui décolle la rétine et des idées innovantes de gamplay et d'interaction comme la Wiimote, nous devrions être heureux.

Et bien non (enfin pas tout à fait), le jeu vidéo est rentré dans l'ére du bisness, du grand public. De plus en plus de jeux se contentent de simplifier au maximum l'accessibilité du gameplay, ce qui a fait apparaitre les jeux dis "casual". De plus, nous vivons une époque où beaucoup trop de jeux se contentent d'être de simple suite de licenses "juteuses" toujours avec le même style, sans saveur, sans évolution.

On ne compte même plus le nombre de FPS (First Person Shooter ou jeu de tir à la première personne), de jeux d'actions façon Gears Of War ou de jeux à l'univers ouvert façon GTA.
Les suites s'enchainent et se ressemblent. Combien de fois avez-vous eu l'impression de jouer à un jeu que vous aviez déjà fait ?

Produire un jeu coute cher, le distribuer aussi. Les éditeurs / développeurs ne prennent plus de risques. Le jeu doit être rentable, le plus rapidement possible.


Maintenant, laissez moi vous parler d'une autre époque.
D'une époque qui a vu la création de certains des genres de jeu les plus en vogue aujourd'hui.
D'une époque qui a vu la création de gameplays qui ont disparus aujourd'hui.
D'une époque où le jeu vidéo était un moyen d'expression libre, accessible, ou les jeux rivalisaient d'idées pour se démarquer de la concurrence.
Oui, je vais faire mon vieux grincheux : avant c'était mieux !

Beaucoup de "gamers" aujourd'hui sont issuent de la "génération Playstation", c'est à dire, qu'ils ont commencé à faire leurs premiers pas sur la PSX et sur la PS2. Ils n'ont jamais connus les jeux en 2D (ou très peu). Rappelez-vous lorsque nos anciennes consoles n'affichaient qu'une poignée de couleurs à l'écran, nous on trouvait ça magnifique. Et ça l'était mes amis. C'est notre imagination qui rendait ça joli. Et puis ce n'était pas le plus important après tout ... (de plus, on ne connaissait rien d'autre)

Nous avons, nous les papa gamers, vécu la création de certains des plus grands jeux de l'histoire du jeu vidéo.
Nous avons joué à Wolfenstein 3D, puis à Doom, pour finir sur Quake, sans imaginer l'impact qu'aurais ce genre de jeu plus tard.

 F16 Falcon sur Atari ST
 Vroom sur Atari ST
La bête : Atari 520 STe

Nous avons joué aux plus grands jeux d'aventure de Lucas Art (Monkey Island, Day of Tentacle, Maniac Manson) et autre "click'n'play" (Les voyageurs du temps, Opération Stealth). Nous avons parcouru l'univers grâce à Captain Blood. Nous avons voyagé dans un monde alternatif grâce à Another World. Nous avons piloté des tanks, des F16 et même la navette spaciale (grâce aux simulateurs sur Atari ST). Nous nous sommes pris pour Ayrton Senna avec Vrooom et Formula One, pour Platini avec Sensible Soccer et les premiers FIFA. Evidement, nous avons connu les débuts de Mario et de Sonic, sans imaginer ce qu'ils allait devenir. Nous avons connu la mort de plusieurs mascottes comme Alex Kidd et autres Baby Joe (et Pacman, il est où Pacman ?)...

 Alex Kidd (vraie mascotte de SEGA ?)
 La SEGA Master System

Qui de nous n'attendait pas avec impatience la sortie du Tilt ou du Génération4 du mois pour connaitre les dernières nouveautées, à une époque où internet n'était même pas un concept ?

Nous avons surtout, mes amis, connu l'âge d'or du jeu vidéo.
Et c'est pour celà que nous pouvons nous considérer comme chanceux.

Après avoir réalisé ça, j'ai pensé à mes fils... Ils vont grandir et les jeux vidéo vont évoluer.
Comment me regarderont-ils lorsque je resortirais ma vieille Master System pour me faire un petit Wonder Boy 3 ?
Auront-ils conscience de tout ce qu'ils n'ont pas connu, ou me regarderont-ils d'un oeil honteux en se demandant comment leur propre père peu faire pour prendre du "plaisir" avec ça ?
Comment regardions nous, nous même, nos parents lorqu'ils faisaient craquer leus vinyls de Mike Brant ou de Bob Dilan ? Comment réagissions nous lorsque nos parents regardaient un film en noir et blanc à la TV avec des acteurs comme Jean Gabin et autre Lino Ventura ?
Personnellement, et ça me rassure, en grandissant, j'ai compris l'importance de certaines oeuvres de cette l'époque. Les Barry White, les films de Michel Audiard, sont devenus culte et intemporel.
Alors, oui, cette vison des choses ne se fera pas immédiatement, mais elle se fera, j'en suis sûr.
Et plus tard, je pourrais leurs dire, avec beaucoup de nostalgie : "J'étais là lorsque tout a commencé !".


C'est pour tout celà que je suis heureux d'avoir connu cette âge d'or du jeux vidéo.
Rendez-vous compte qu'en l'espace de 30 ans, nous somme passé de Pong à GTA IV ... Où en serons-nous dans 30 ans ? Pour moi un truc est sûr, c'est que je jouerais toujours aux jeux que j'aime, quelque soit leur âge !
Et vous, où serez-vous dans 30 ans ?

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22 mars 2009 7 22 /03 /mars /2009 09:26

J'ai, il faut le dire, assez  rapidement fini Resident Evil 5 (en moins d'une semaine).
Ce n'est pas que ce Resident Evil a une durée de vie très courte, mais bien qu'il m'a passionné, du début à la fin.

Oui, vous avez bien lu !!!
Moi qui ai critiqué, assez souvent, ce jeu (déjà lors de la démo ici), j'en dis du bien !!
Que s'est-il passé ?

Tout simplement, la démo n'est absolument pas représentative du jeu. Personnellement, je pense même que Capcom aurait du s'abstenir pour la démo. Elle montrait les passages les plus "action" du jeu, et mettait donc en avant la rigidité du gameplay. Car oui, je ne change pas d'avis là dessus, le gameplay est des plus rigide.

Mais en tant que fan de la série (allez voir le dossier spécial Resident Evil ici), je me devais de faire cet épisode.

Pour aller droit dans le vif du sujet, présentons, tout d'abord, les aspects négatifs de ce Resident Evil 5 :
- En premier, et ce qui fait le plus polémiquer autour de ce jeu : le gameplay. Evidement, le gameplay est celui d'un Resident Evil : il n'a jamais été possible de tirer en se déplaçant, et ce, depuis la naissance de la série. Cela ajoute à l'angoisse de perdre ses munitions en visant mal, de se faire prendre par l'arrière (sans mauvaises pensées). Mais ce gameplay n'est bien sûr absolument pas adapté à un jeu d'action. Et lors du boss final, vous souffrirez à cause de ce dernier. Ce qui me conduit, directement au deuxième gros défaut de ce jeu.
- Resident Evil 5, un jeu d'action ? Oui, depuis le 4ème épisode, Resident Evil est devenu un jeu d'action, et avec ce 5ème épisode, on entre dans une surenchère de l'action. Des ennemis à foison, suréquipés, vifs et (presque) malins (ils vous prennent à revers, et arrivent en masse). Où est donc passé le coté aventure des premiers épisodes ? Où sont les énigmes bien vicelardes qui nous procuraient une certaine fierté lors de leurs réussites ?
- Le dernier gros défaut du jeu, viens de la perte de toutes les petites choses qui faisait l'identité des jeux de la série Resident Evil. Les coffres et le fameux "grounnk" à l'ouverture, les zones de sauvegardes (limitées) avec les machines à écrire, le menu pause et son petit côté "tetris" pour pouvoir ranger les objets de l'inventaire, les cartes des différentes zones à trouver ... Et j'en passe ...

Et là, vous allez me dire, mais pourquoi tant de passion autour de ce jeu alors ?
Tout simplement parce qu'une fois les défauts du jeu surmontés, on est en face d'un très bon jeu.
Graphiquement le jeu est sublime (malgré un problème de synchronisation très gênant sur Xbox 360 qui créé une ligne de décalage sur l'écran, surtout visible lors des cinématiques). L'ambiance est superbe et très cohérente. Les niveaux sont variés. Et surtout la mise en scène et la réalisation globale du jeu est vraiment très prenante, appuyé sur un scénario pas mal du tout et très respectueux de la série. Bref, il a toutes les qualités d'un bon jeu.

La coopération avec Sheva est autant un point fort qu'un point faible.
Pour les points fort, Sheva est vraiment très réactive et son IA est vraiment bien travaillée (elle vous soignera quand vous en aurez besoin, vous donnera des munitions ... Ce qui vous permettra d'être dans l'action). En revanche, elle a la fâcheuse habitude de gâcher ses munitions et de se trouver dans les pâtes des gros monstres et se faire tuer d'un seul coup (et là c'est le Game Over), et de se trouver dans vos pâtes à vous et gêner un repli qui aurait pu vous sauver la vie. De plus, l'angoisse n'y est pas lorsque l'on arpente un couloir bien sombre avec Sheva, on se sent plus en sécurité, elle réagira lors de l'arrivée des ennemis qui ne nous prendrons donc assez rarement par surprise.

Encore un petit aspect positif, RE 5 est tout à fait "rejouable". Une fois l'aventure fini, on débloque tout un tas de mode de jeux, on peut y jouer en coop avec un ami (privilégiez le mode en ligne, l'écran splitté étant surtout rempli de zone noire). Et cerise sur le gâteau, il est possible de refaire l'aventure avec Sheva en gardant notre inventaire et notre argent.

Alors voilà, comment décrire Resident Evil 5 ?
J'ai eu la même sensation que lorsque je jouais à RE 4, je le trouve formidable en tant que jeu, mais pas en tant que Resident Evil. Et RE 5 est, sur beaucoup (trop) de points, un copier-coller de son petit frère. Du coup, il lui manque une identité. On a, trop souvent, l'impression de revivre les superbes scènes de RE 4, qui à l'époque, avaient au moins le mérite d'être inédites. Il n'y a donc pas ou peu de surprises.
Resident Evil 5, un Resident Evil 4.5 en HD? Oui, un peu ...
Mais, ne boudons pas notre plaisir de retrouver Chris, Wesker et autres gourmandises. Et surtout, ce serait comme même dommage de passer à côté d'un très bon jeu.

Pour conclure, Resident Evil, qui a rendu populaire le style "survival horror" a créé un nouveau type de jeu que j'appellerais le "Survival Action". Donc, Resident Evil 5, un très bon jeu : OUI, mais définitivement, un Resident Evil très moyen, en tant que fan de la série, j'attendais beaucoup plus de ce jeu. Et vous, qu'en pensez-vous ?

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17 mars 2009 2 17 /03 /mars /2009 10:48

Un petit article sur les DLC, qui font de plus en plus parler d'eux.

Pour les néophytes, le DLC est l'acronyme de DownLoadable Content (ou en Français : le Contenu TéléChargeable).
En quoi ça consiste ?
C'est tout simplement du contenu additionnel aux jeux, que l'on récupère via les plates formes de téléchargement de nos consoles récentes. Et oui, ce terme et ce principe sont arrivés avec les consoles dites "nouvelle génération", comme la PS3, la Xbox 360 et la Wii. Ce principe existait déjà dans l'univers des jeux PC.
Cela permet d'augmenter la durée de vie d'un jeu par l'ajout de nouveaux niveaux ou de nouveaux modes de jeux.

 

Bref, sur le papier c'est plutôt intéressent.
Mais, qu'en est-il vraiment ?


   
 Le Playstation Store
 Le Marketplace de la Xbox 360

Aujourd'hui les DLC sont de plus en plus montrés du doigt, les derniers en date : le DLC de Prince of Persia qui permet d'avoir l'épilogue du jeu, certains diront même "la vraie fin". Le mode "versus en ligne" de Resident Evil 5. Et j'en rajouterais une couche avec les tenues des persos de Street Fighter 4.
Ces contenus n'étant évidement pas gratuit, mais bel et bien payant (de 5 à 10 euros, tout de même).
Alors, tout le monde crie au scandale !
Et moi aussi d'ailleurs : SCANDALE !!!!!!!!!!!!!!

 Les persos de Street Fighter pour Little Big Planet
 Kratos dans Little Big Planet

Pourquoi ? Tout simplement parce qu'un jeu aujourd'hui coûte la bagatelle de 70 euros, qu'un DLC tourne en moyenne entre 5 et 10 (comme je vous l'ai dis) et que certains DLC sont vendus en plusieurs packs (les tenues pour SF4 sont séparées en 3 ou 4 packs de 4 euros chacun, si je ne dis pas de bêtises).
Alors, au final, on se retrouve vite avec un jeu qui peu atteindre pas loin de la centaine d'euro. Voilà, la barrière psychologique est franchie.
100 euros, un jeu !!!!! Et oui, c'est presque le prix d'une console d'occasion ...
Alors évidement, personne ne s'en rend compte, une fois le jeu acheté, on y joue un petit bout de temps (enfin, tout est relatif ...), on l'aime, et hop on a l'occasion de pouvoir continuer l'aventure, ou d'améliorer notre expérience de jeu. Comme beaucoup de gens, on se dit "c'est pas très cher 5 euros, c'est même pas le prix d'un paquet de clopes...". Et voilà, il est là le piège !!

Pour revenir sur les tenues de SF 4, avant, c'était des goodies que l'on débloquait à force de jouer. Aujourd'hui, on doit payer pour les avoir. Pareil pour les modes de jeu qui étaient déblocables après avoir fini l'aventure.
Aujourd’hui, on a franchement l'impression d'acheter un jeu non fini.


 Les costumes de Street Fighter 4
 GTA IV : The Lost and Damned

Je relativiserais quand même ce principe, avec des jeux comme Burnout Paradise, dont la plupart du contenu additionnel est gratuit. Ce qui permet de garder sont jeu et d'y rejouer assez souvent.

Au final, je ne suis pas fondamentalement contre les DLC. S'ils apportent une vraie valeur ajoutée au jeu, s'ils complètent l'aventure, là je dis : pourquoi pas. On peut prendre comme exemple GTA IV et son add-on "The Lost and Damned" exclusif à la Xbox 360 (arf, dommage pour moi !) qui apporte vraiment une expérience de jeu nouvelle.
Mais globalement, ce genre de DLC n'est que très exceptionnel. On se sent, de manière plus générale, bien entubé lors de la sortie d'un DLC, à peine quelques jours après la sortie du jeu. A ce moment là, une question nous brûle les lèvres : "Mais pourquoi n'est-il pas inclus dans le jeu d'origine ?!"

Bref, cette génération de console apporte vraiment son lot de "mauvaises évolutions". Et les DLC, la plupart du temps, en font partis.
Personnellement, je boycotte ce genre de principe ! Il est hors de question que je sorte 5 euros pour voir Ryu torse nu avec son kimono déchiré !!
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12 mars 2009 4 12 /03 /mars /2009 10:39

Des petites nouvelles de ma PS3 : (pour rappel, c'est ici)
Elle est entrée ce week end en soins intensifs.
Après 3 semaines d'attente interminable de sa mutuelle, j'ai enfin reçu le petit papier.
Arrivée au magasin d'achat pour faire l'entrée à l'hôpital, l'infirmier me dit qu'elle était encore prise en charge sans extension.

Sachez, mes amis, qu'une PS3 60Go est sous garantie pendant 18 mois, et non pas 12, comme le fait savoir (croire) Sony, pour vous enc****.

Donc, le "geste commercial", qui consistait à me faire dont d'une extension de garantie couvrant la réparation, me fait bien rigoler du coup.

En tout cas, elle en a pour environ 2 mois de convalescence. Et 2 mois, c'est une moyenne.

Vous ne verrez donc pas, ces prochains temps, de jeux PS3.

Point positif (il en faut), lorsque je retrouverais ma PS3 (peut-être même une toute neuve), les jeux que j'avais prévus d'acheter dessus seront en occasion, donc moins chers ...
On dit "Merci SAV de Sony !!".

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5 mars 2009 4 05 /03 /mars /2009 00:00
J'ai craqué ...
En attendant des nouvelles du SAV Sony (voir ici), je me suis pris Street Fighter 4 sur ma Xbox 360.
Je savais, par avance, que le maniement avec le pad de la Xbox ne serait pas terrible, mais il reste meilleur que je ne le croyais. Le vrai problème vient des coups spéciaux à base de charge (genre 2s en arrière puis avant), et de la réactivité des commandes pour l'exécution de certains combos.
J'utilise le stick analogique (le pad directionnel est vraiment trop mauvais et mal placé pour ce genre de jeu) qui en prend plein la **** du coup.

Ce jeu est tout simplement l'un des meilleurs Street Fighter.
Étant un grand fan du "premier" Street Fighter 2 (on oubliera le tout premier Street Fighter ...), j'ai usé mes pouces sur la version Super Nintendo à l'époque.
Le Street Fighter 3 (surtout le Third Strike, que je connais bien grâce à ma Dreamcast et son "petit" stick arcade) était très bon aussi, mais à mon avis, réservé à une élite. Les techniques de combats étaient vraiment très difficiles, sans parler de l'IA.

Avec ce quatrième épisode, je retrouve le fun du 2. Et surtout, pour les fans de la première heure, on retrouve très rapidement ses marques. La plupart des persos du jeu étant issus de l'univers Street Fighter 2 (super, turbo, ...).
On retrouve, avec un véritable plaisir, Blanka, Sakura (je l'adorais dans les version Alpha, et ici aussi), Zangief, Fei Long (en hommage à Bruce Lee), Gen (j'adore !), Dan (complètement décalé) et les "boss" tel que Balrog, Vega, Sagat, M.Bison.
De plus, on trouve quelques petits nouveaux dont Abel (mon préféré, et pas seulement parce que c'est un Français), El Fuerte (adepte de la Lucha Libra), Rufus (un obèse bien marrant, que je n'ai pas encore essayé), Crimson Viper (mouaif, pas fan ...) et le nouveau boss, Seth (qui reprend les meilleurs coups de tous les combattants).
Il y a en tout dans Street Fighter 4, 25 persos. Il y en aura pour tout le monde !


 Ruy VS Gouken
 L'écran VS, avec ici, Ryu et Sagat

Bref, on est en terrain connu et conquis !


La réalisation du jeu est formidable : Les combattants, les arènes, les coups spéciaux, les animations. Bref, tout est parfait pendant les combats. Par contre, les temps de chargement sont vraiment trop longs ... Mais ça permet de se reposer les doigts...
Je suis vraiment un grand fan des cinématiques version "encre jetée" (elle sont à débloquer et au nombre de 6).
Les dessins de présentation des persos sont très beaux aussi (on reconnais bien la touche UDON)
Par contre, les dessins animés d'intro et de conclusion de chaque perso sont vraiment laids ! Perso je trouve l'animation et les dessins super vilains. A la limite je préférais les images fixes des anciens épisodes.
Les menus du jeu ne sont pas terribles (trop sobres) , mais bon, c'est un jeu de combat, les menus c'est pas la priorité.
En effet, la priorité ce sont les combats, et là, il n'y a pas à chipoter, c'est parfait !

 
 Les coups spéciaux sont
superbement mis en scène
 Les intros ... Beurk !

Bon, pour le moment je n'ai pas essayé le mode en-ligne, j'attendrais d'avoir la version PS3.
Mais j'ai bien progressé tout de même. Il ne me reste plus que 3 persos à débloquer (Seth, Akuma et Gouken).
On ne s'ennuis pas d'ailleurs dans ce Street Fighter 4, même en solo (c'est rare pour un jeu de combat), il y a toujours des challenges à faire ou a débloquer ... J'en suis actuellement à près de 10h de jeu, et je suis très loin d'avoir tout débloqué.
Pour conclure (je pense que je reparlerais de ce Street Fighter 4), bien sûr je n'ai pas vraiment fini le jeu (normalement un bon jeu de combat comme celui-ci a une durée de vie infinie), mais j'en sais assez pour donner mon avis. Et mon avis est des plus positif. Vivement que je puisse l'avoir sur ma PS3 avec mon stick arcade.
Donc, si vous avez aimé les premiers Street Fighter 2, n'hésitez pas !
J'y retourne, il m'énerve trop ce Seth, faut que je lui montre c'est qui le patron ! Non mais !

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26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 10:00

Bon, j'ai essayé de reproduire textuellement le fameux "Resident Evil" dit sur un ton (très) grave, présent dans tous les écrans titres des différents jeux Resident Evil.
Bref, vous l'aurez compris, aujourd'hui, avec la sortie très proche du 5ème épisode de "Reesident Eeee-vil !" (ok, j'arrête ...) j'avais envie de parler de cette superbe saga.

Comme vous l'avez certainement lu dans la présentation de la démo, celle-ci m'a laissé un goût amer. Mais ça ne m'empêchera certainement pas de l'acheter (pour voir cet article, c'est ici).

Commençons par le commencement, on est au milieu des années 90, la barbe (ou plutôt la moustache) commence à se faire plus présente, j'ai des boutons, bref, je suis un ado, et comme tous bons ados qui se respectent, mes potes et moi on a tous une Playstation.
Mon pote m'invite à passer la soirée chez lui (en tout bien tout honneur) pour essayer un nouveau jeu qu'on a été acheté ensemble. Alors on s'installe là avec son frère et un autre pote, on met le CD, start ...
"Reesident Eeee-vil !", l'écran titre nous scotche déjà.
On se prépare à une soirée de peur et d'horreur, son père nous ayant préparé des tripes pour le dîner (ceci est une histoire vraie, et je vous jure, qu'essayer de manger des tripes, déjà c'est dur, mais après avoir jouer à Resident Evil, c'est un véritable traumatisme psychologique).
La claque !
Une mise en scène prenante, une véritable difficulté, une ambiance glauque, et surtout, quelle angoisse (il faut entendre les zombis et leurs pas rampants). Bref, on comprend tous, à cet instant précis, la signification du genre : Survival Horror (même si c'est Alone in the Dark qui a créé le genre, à l'époque les PC c'était encore trop chers pour nous).
La suite, si vous y avez joué, vous la connaissez ... Sinon, il vous faut essayer ce jeu !

 

 Resident Evil sur PSX
 Resident Evil sur GameCube


Évidemment, quelques jours après (le lendemain pour être exact) le jeu était chez moi. Quel bonheur d'y jouer dans le noir, un casque sur les oreilles, le pad humide de sueur, dû à la peur, entre mes mains.

Le premier Resident Evil fait parti de mes jeux préférés. Jamais je n'ai pris autant de plaisir à jouer à un tel jeu, jamais un jeu ne m'avais fait autant peur. C'est une des raisons qui m'a fait acheter une GameCube, pour pouvoir jouer aux remakes des premiers Resident Evil.
Une fois fini, évidement, nous attendions tous la suite avec impatience.

C'est un beau matin, dans un des magasins de jeux vidéo proche de Jussieu (j'étais à la fac à l'époque) que nous voyons avec un ami, la scène d'intro de Resident Evil 2. Fini le film de série B qui faisait office d'intro dans le premier opus, place à de la belle 3D pré-calculée.
Une ville ravagée par les zombis, ça brûle de partout, on comprend tout de suite que l'action y sera plus présente et que les décors seront plus vastes.
Pas de doute, il me le faut, et tout de suite !


 Resident Evil 2, et le Tyran

Avec ce deuxième épisode, je retrouvais les bonnes sensations du premier. Mais la surprise n'y était plus.
Peu importe, quel bonheur de pouvoir encore casser du zombi, de plus les principes qui avaient fait le succès de la saga étaient toujours là.

A noter aussi que ces jeux proposaient de vivre l'aventure à travers 2 persos différents (en fait le choix du perso définissait la difficulté du jeu). Ce qui rendait ces jeux plus longs (on les finissait au moins deux fois) et des scénarios plus travaillés. Un autre de mes potes (j'avais pleins de potes !) avait même poussé le vice jusqu'à finir le premier épisode avec le moins de sauvegarde possible et en moins de temps possible pour débloquer des tenues et des armes spéciales.

Ensuite je me rappelle que la sortie de Resident Evil 3 ne m'avais pas bouleversée. Le jeu était, encore une fois, fidèle à la saga, on en apprenait encore plus sur l'intrigue liant tous ces épisodes, le boss était franchement charismatique, c'était juste qu'à l'époque je jouais moins.
Ce qui ne m'avait pas empêché de l'acheter, de prendre mon pied, et de le finir ! (non mais !!)


 Resident Evil 3, et le boss, qu'on surnommait "pain aux raisains"

Je n'ai jamais fais l'épisode Code Veronica, à mon avis c'est un tort, mais à l'époque je ne m'étais pas précipité sur l'achat d'une Dreamcast ni d'une PS2. Je m'installais avec ma petite femme, et le peu d'argent qu'on avait on le dépensait autrement. Depuis j'ai acheté la Dreamcast et j'ai ma fidèle PS2, il faudrait que je le fasse !

Passons donc directement à Resident Evil 4 (je ne parlerais pas des shoots et autres outbreak).
Et là ce fût une première déception : Où sont mes cibles préférées, mes petits zombis à moi !!!
Evidement, cet épisode renouvelle grandement la série, sortit près de 5 ans après le 3ème épisode, le gameplay se voit complètement modifié. Et ça, ce n'est pas un mal !
On retrouve certains des persos des anciens Resident Evil (Wesker le méchant très charismatique, on contrôle Léon héros du second opus).
Mais l'univers n'est plus le même ... Même l'ambiance a changée.
Bien sûr la série se devait d'évoluer, mais j'étais vraiment attaché à certains principes qui faisaient de Resident Evil un must ! Le coté claustro, les zombis, le manoir ...
Des petites choses qui ont disparus avec ce 4éme épisode.
Ce qui n'empêche pas celui-ci d'être très bien réussi, car même si l'ambiance a changé elle reste bonne, on garde toujours en nous cette angoisse viscérale en jouant.
Même si, au début, j'étais un peu déçu, cet épisode reste gravé dans ma mémoire comme un très bon jeu. Je l'ai d'ailleurs fini assez rapidement tellement j'avais envie d'avancer dans l'aventure. C'est bien une preuve de qualité.


 Resident Evil 4 : Tiens, prends ça dans le sac !

Avec la démo du 5ème épisode, mon avis est plus que mitigé ...
Ils ont amplifié ce qui ne me plaisait pas trop dans le 4ème épisode. Et pour le moment il m'a vraiment déçu, et je ne lui trouve pas (encore) de points positifs.
Ce qui me rassure c'est que tous les tests (sérieux) le trouve formidable.
Je passerais certainement outre mes préjugés pour y jouer, et vous saurez si j'ai eu raison de le faire.
Bon, ce ne sera pas pour tout de suite, ma PS3 est toujours en rade, et vu qu'il y a un mode coopération en ligne, je le prendrais sur cette console.

Vous l'aurez compris, comme beaucoup de licences fortes, Resident Evil s'est essoufflé avec les années. Ou, sommes nous, peut-être aussi, plus (trop) exigent envers des jeux aussi mythiques.

En tout cas, pour moi, la série des Resident Evil, et surtout le premier épisode, fait parti d'une part importante de ma vie de gamer. C'est le genre de jeu qui nous fait comprendre pourquoi on aime les jeux vidéo.
Je rajouterais même, pour parler du premier épisode en tout cas, que ce jeu justifie le titre d' "œuvre d'art".
Merci Resident Evil de m'avoir fait peur et d'avoir blanchi certaines de mes nuits !!!
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24 février 2009 2 24 /02 /février /2009 12:06
Bon, voilà, j'ai fini Mirror's Edge ...
Et mon avis sera, avec ce jeu, plus mitigé que les autres jeux que j'ai fini.
En effet, Mirror's Edge ne me laissera franchement pas un souvenir impérissable.
Pas que ce soit un mauvais jeu, au contraire, c'est un bon jeu, mais il est rempli de défauts bien énervants.

Commençons par les bonnes choses que propose ce jeu.
Tout d'abord, Mirror's Edge est vraiment original, faire un jeu de plates formes en vue subjective, personne n'avait encore osé. Et je dois avouer que Dice (les développeurs) y sont vraiment bien arrivé.
La prise en main s'avère, au final, parfaitement bien pensée. C'est simple et on arrive très rapidement à faire de très belles figures.
Ensuite, le design du jeu est très bon, agréable et très cohérent. Même si l'univers parait froid, les environnements sont plus variés qu'il n'y parait, détaillés mais pas trop, permettant une bonne visibilité des décors.

Maintenant, attaquons les aspects négatifs du jeu.
Tout d'abord, le jeu est court, compter à peine 7h pour voir le générique de fin. EA ayant conscience de ce problème, le prix de Mirror's Edge a été baissé à 30€ et un pack d'extension gratuit est dispo sur le PSN et le Xbox Live. Pas de mode en ligne à part du scoring pour le mode parcours (pas encore testé).
Mais la durée de vie serait encore plus basse si certains passages du jeu n'étaient pas excecivement difficiles.
En parlant de la difficulté, je trouve qu'elle est vraiment très mal dosée. Certains passages vous ferons littéralement craquer (je n'ai jamais autant insulté un jeu !!) et ce dès le début du jeu. La fin du jeu est, elle, beaucoup plus simple.
J'ai encore le souvenir du premier boss que l'on rencontre, franchement dur, alors que la dernière mission se bâcle en 20 min et que le boss final sera tué après un seul saut ...
Le moteur physique du jeu n'est vraiment pas tolérant. Certaines phases de plates-formes vous oblige à réaliser des sauts au millimètre. Cette nunuche de Faith ayant la fâcheuse tendance à glisser et se laisser tomber dans le vide rien que pour vous embêter ...
Alors quand vous êtes en train de chercher où aller, que des flics vous tirent dessus, qu'un hélico vous poursuit pour vous tuer et que vous loupez votre "saut salvateur" qui vous entraîne vers un crash mémorable sur le trottoir, on demande justement "poliment" à Faith d'y retourné sur ce trottoir, pour y exercer une activité plus lucrative !
Enfin, pour clore les points négatifs, le scénario n'est pas des plus original. Les rebondissements de l'histoire on les voit arrivés bien avant.

Voilà, j'avais vraiment envie de finir ce jeu, et je l'ai fais.
Normalement Mirror's Edge devrait être une trilogie, je vais donc patienter pour les épisodes suivants en espérant que Dice fassent de gros efforts pour corriger les problèmes de ce premier opus.

Je conseillerais Mirror's Edge surtout aux Hardcore Gamers, il faut vraiment en vouloir et passer outre les gros défauts de ce jeu pour en venir à bout. Et comme je l'ai dis en intro, ce jeu ne restera pas dans ma mémoire comme un jeu formidable, mais comme une très bonne expérience originale.
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23 février 2009 1 23 /02 /février /2009 18:55
Une bonne petite démo dispo sur le PSN Américain m'a fait bien plaisir !
Cette démo c'est Afro Samurai.
Un beat'em all super stylisé en cel-shading tiré du manga du même nom.

Une ambiance hip-hop dans un univers médiéval japonais. Fallait oser !
La voix de Samuel L. Jackson, des sons mixés par le grand RZA des Wu Tang ; Hip-Hop Rulez !!!

Un gameplay simple et nerveux ressemblant au très bon Ninja Gaiden 2, du classique en fait : coups normaux, coups forts, coups de pieds, on enchaine le tout pour sortir de superbes combos, on reste appuyé sur les gachettes pour se concentrer et sortir un coup dévastateur capable de trancher un ennemi en 2.

Et oui, Afro Samurai est très violent, mais le côté dessin animé rend le tout très marrant.
Mais à ne pas mettre entre toutes les mains, les gros mots fusent, on tranche des têtes, des bras, des jambes, des troncs ... Et j'en passe, le tout dans une débauche de sang frais.

Bref, un bon petit jeu bien rigolo, respectant l'esprit du manga (pour ce que j'ai vu du manga).
Pourquoi pas, mais d'occasion, 30€ maxi .
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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 09:26
Comme vous le savez, ma PS3 est à peu près morte (je peux quand même jouer aux jeux téléchargés sur disque dur), donc pour me venger et évacuer ma haine, je me suis fais plaisir, j'ai investi dans Left4Dead sur PC.

Et je dois dire que je ne suis pas déçu.
Pour le moment je n'ai fais que quelques missions du mode campagne en coopération.

Ca fait longtemps, étant fan de zombis, que j'attendais un tel jeu !
Et j'adore !!!

Ca se joue à 4 joueurs (au plus), chacun choisissant un rôle (un furieux militaire, un vilain biker, un cadre pas trop dynamique ou une jeune fille fragile).
Et là c'est l'horreur, un véritable cauchemar, une orgie de chair avariée.
Les missions se résument à aller d'un point A vers un point B, en évitant de se faire bouffer, tuer, ou pire encore.
La coopération et la survie sont les 2 données principales de ce jeu.
La réalisation n'est pas exceptionnelle, mais l'ambiance est là. Lorsqu'une horde se zombis vous arrive dessus en courant et en criant, on se croirait vraiment dans le film "28 jours plus tard" (vraiment, il faut voir la manière dont ils courent). Et je ne parle même pas des autres types de zombis comme les gros Tanker, les furieuses Witch, les rapides Hunter ... Car dans Left4Dead, il n'y a pas que les zombis, mais des choses bien pires encore...
Créer une unitée avec ses coéquipiés est ici vitale, si vous vous retrouvez seul dans cet univers gloque, vous pouvez êtes sûr d'y passer.

Je parlerais, bientôt, en détails de ce jeu. Pour le moment c'est un peu trop tôt, je n'y ai pas encore assez joué (d'où la bonne surprise).

Vous l'aurez compris ce jeu est tout simplement génial.
Si vous aimez les films de zombis, si vous aimez la coopération, la survie, le sang, la bile, la chair en décomposition, foncez !!!

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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 09:24
Je suis furieux !!!!!!
Dimanche soir, je jouais "gentiment" à GTA IV sur PS3, j'étais quasiment à la fin.
Et lors d'un chargement, paf ! écran noir !!
Bon, la console a buggué, elle ne réponds plus, je la redémarre à la main en restant appuyé sur le bouton On / Off.
Bon, elle redémarre, je vais pouvoir voir la fin de GTA IV.
Et là, ho rage, ho désespoir, je ne vois plus l'icône de jeu...
Bon, je ne panique pas, je sais que les bugs sont légions dans cette nouvelle génération de consoles.
Je redémarre, j'essaye un autre jeu, rien ... Les CD ne sont plus reconnu ...
Une petite recherche sur Internet a fini de me tuer. Ce serait la lentille du Blue Ray qui serait HS.

Alors voilà, j'ai acheté ma console il y a un an et demi (la version 60 Go), donc plus de garantie.
Hier, j'appel le SAV (j'ai dus tomber sur Fred de Omar & Fred). Le mec me propose une extension de garantie gratuite pour pouvoir renvoyer ma console et la faire réparer gratuitement (ça c'est bien, merci Fred).
Mais voila, à la fin de la semaine (dans quelques jours) Street Fighter IV et Killzone 2 sortent !!!
Nooooooooonnnnn !!!!!
Je ne sais pas combien de temps tout ça va prendre. Mais en tout cas, vous n'aurez pas d'articles sur ces jeux tout de suite ... Sachant que d'après certains forum, ça peut aller de 10 jours à 3 mois, voir même plus ...

Plus les consoles évoluent, moins elle sont stables. On connais les problèmes de lentilles sur les consoles de Sony, mais MERDE, j'ai acheté une console 600€, c'est pas pour qu'elle soit naze au bout de un an et demi !!!
Je suis furieux !

Bon, allez, je vais rebrancher ma Master System qui marche toujours aussi bien après pas loin de 20 ans de vie. Et Dieu sait qu'elle a tourné.
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